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Les pères ont des enfants : Débat

[ Références ]

[ Débat ]

Goldman vient de publier un ouvrage, "Les pères ont des enfants", avec Alain Etchegoyen....

Au risque de paraître plutôt formaliste, il y a quand même quelque chose qui m'échappe. Goldman, celui dont "la démarche est un peu celle des clubs des vacances qui proposent de ne pas bronzer idiot, quitte à faire des chansons, autant qu'elles ne soient pas trop idiotes, mais l'essentiel est de faire danser ceux qui les écoutent", celui qui considère que son avis n'est ni plus ni moins intéressant que celui des gens qui achètent ses disques, celui qui ne veut surtout pas délivrer de messages, vient de publier un livre, où il donne à maintes reprises son avis, où il aborde des questions auxquelles "un artiste n'est pas habilité à répondre" (sic).

C'est peut-être justement pour cela qu'il s'agit d'un livre et pas d'un disque, mais tout de même, que Goldman échange des heures durant avec Alain Etchegoyen dans une
cave de Montrouge, ça ne m'etonne pas de lui, mais qu'il juge suffisamment intéressante et importante la discussion pour qu'elle soit publiée dans un bouquin, je ne suis pas sûr de bien comprendre. Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit : je suis très heureux que ce livre existe, et je vais me précipiter dessus. Et je ne suis pas de ceux qui pensent forcément qu'un artiste ne doit pas commettre ce genre d'ouvrages. Mais n'y a-t-il pas un énorme paradoxe avec l'idéologie traditionnelle qui anime Goldman depuis ses débuts ? Lui qui a toujours refusé de participer à des emissions telles que "7 sur 7" parce que ce n'était pas son rôle d'artiste, voilà qu'il s'engage un bon pas plus loin en publiant un ouvrage sur un sujet de société. Je suis un peu largué...

Bref, je ne me l'explique qu'en admettant un revirement spectaculaire dans ses principes et sa conception de son rôle d'artiste, et j'aimerais beaucoup savoir si certains expliquent ceci différemment.

Julien Schroeter
En passant, 21 novembre 1999


Depuis quelques jours maintenant, on lit pas mal de réactions négatives sur les propos de JJG dans son livre, "Les pères ont des enfants".

Je ne sais pas si les personnes qui ont réagi ainsi avaient déjà à d'autres occasions été en désaccord avec certaines idées de Goldman. En ce qui me concerne, au risque de passer pour un fan basique, j'avoue que je m'étais jusque là très rarement trouvé en désaccord avec les points de vue de JJG. Peut-être çà et là concernant son point de vue sur l'armée, par exemple, mais à part ça... Et en lisant ce bouquin, je me suis souvent senti en délicatesse avec ses opinions. Rien de bien grave, peut-être même que ça me fera du bien, mais en tout cas, ça m'a fait en déduire quelque chose. Je me rends compte à quel point les chansons permettent d'idéaliser les opinions
de quelqu'un, de les modeler à sa sauce, de comprendre les phrases comme on l'entend. C'est peut-être là la plus grande richesse et la plus grande noblesse de la chanson, mais bon, ça reste finalement un art trompeur, un art enchanteur, pour le meilleur et pour le pire. "Tout ce que tu m'as dit, vieux Bob Dylan maudit, c'était menti", chante Souchon... Pas mal vu !

Ce n'est pas pour autant que je vais discréditer complètement Goldman, du jour au lendemain, mais finalement, je me rends compte que ce qui est le plus beau en chanson, ce n'est peut-être pas d'être frère d'idées avec un artiste, ce n'est peut-être pas de trouver son alter ego à travers quelques mélodies. Le plus beau, c'est peut-être simplement de trouver au détour d'une phrase ou d'un accord une émotion qu'on avait ressentie sans pouvoir la nommer, la verbaliser... Comprendre l'artiste, le rejoindre l'espace d'un "Y'a que les routes qui sont belles", d'un "Garde en mémoire notre au revoir, puisque tu pars" et tant pis si la phrase suivante, si l'interview
parue ce jour n'a pas la même saveur. L'étincelle a jailli, l'espace d'une émotion...

Julien Schroeter
En passant, 24 décembre 1999


J'ai lu le livre et il m'a beaucoup plu. Je suis moi-même maman de deux filles de seize et six ans, et je me suis souvent posé des questions sur le rôle du père dans la famille. Dans ce livre, j'ai trouvé beaucoup de réponses ! Chacun peut être d'accord ou pas avec les opinions des auteurs, mais d'évidence, celles-ci existent et ces pères ne sont ni absents, ni démissionnaires. Je pense que l'utilité du livre est là, pour moi : dans une période où le rôle du père est flou dans beaucoup de familles : divorcés, familles monoparentales, mères abusives ne laissant pas la place au père ou père démissionnaire "débordé" par son boulot, ou le foot, ou autres chose...

Voilà un bouquin qui m'a donné deux exemples de pères qui s'impliquent dans l'éducation de leurs enfants. Je n'ai pas été étonnée de voir JJ aussi "strict", c'est exactement ce que j'imaginais de lui, et ce que j'aurais attendu de mon père ou de ceux de mes enfants...

Nadine C.
En passant, 11 septembre 2001


J'imagine que JJ n'est plus à un âge où l'on se pose beaucoup de questions sur l'éducation, puisqu'elle est faite... Y aurait-t-il un décalage entre le JJ qu'on a aimé au départ et celui de maintenant ? (je veux bien croire qu'il a vieilli, mais nous aussi il me semble !!!). Bon j'arrête de délirer sur l'âge du boss, mais n'empêche que... Je suis maman aussi, mais j'ai encore peu de réponses sur l'éducation. Ceci dit, l'éducation musicale est bien engagée, mon fils est fana de JJG...

Manue
En passant, 11 septembre 2001


Je me suis demandée si JJ ne s'était pas un peu fourvoyé dans cette aventure. Alain Etchegoyen a peut-être suuser de son charme et de son charisme (qu'il a à revendre d'après ceux qui le connaissent) pour entraîner JJG sur un terrain glissant, car j'imagine sans peine celui des deux auteurs qui en a tiré le meilleur profit ! Ce qui me fait dire que JJ a peut-être regretté de s'être livré à cette expérience est qu'il s'est toujours refusé à faire le moindre commentaire dessus. Mais peut-être ce livre a-t-il été une sorte d'exutoire, de thérapie, à un moment délicat de sa vie, et là on en revient au thème "JJ jeune à tendance..." Et je serais franchement surprise s'il réitérait l'expérience !

Christine Tascher
En passant, 11 septembre 2001


Je suis plutôt d'accord avec beaucoup de choses concernant l'éducation. Ce sont tous les à côtés qui me semblent extrêmement contestables. S'il a une expérience en matière d'éducation des enfants (puisqu'il en a :-)), en revanche, il tient des propos stupides sur des choses qu'il ne connaît pas, et ça se sent. ll s'en tient à des lieux communs lus dans les journaux (lui qui est tant contre les lieux communs, c'est un comble). Notamment, la façon dont il parle de la fonction publique, du suicide, de l'opposition bonheur / malheur, et de plein de choses diverses et variées. Il aurait fallu être plus précis, moins généraliste, moins dans le lieu commun, car c'était limite limite. A rester dans le flou, certains de leurs propos peuvent être interprétés de façon très négative, et pour moi, ce doute subsiste, effectivement.

Vu le peu d'écho qu'a suscité ce livre (je n'ai jamais entendu QUE des fans de Goldman en parler), je doute que ce soit pour faire de la pub. Et je trouve que même si, dans leur point de vue sur l'éducation, ils enfoncent des portes ouvertes, il était très bien de le faire car, à force de jeter aux orties toutes les valeurs educatives traditionnelles, on a aussi jeté de bones choses. Et c'était bien qu'elles soient réhabilitées même si certains les trouvent "réac".

Je ne sais pas si vous avez lu les autres bouquins d'Alain Etchegoyen, mais il y a à boire et à manger dedans. C'est unn peu le genre de mec qui veut plaire à tout le monde et, du coup, est capable de dire une chose et son contraire pour ratisser le plus large possible.

Tiebo
En passant, 11-13 septembre 2001


J'ai l'impression que tout le monde trouve que l'ami Goldman a, avec ce livre, joué les enfonceurs de portes ouvertes pour le bénéfice d'une publicité improbable, dont ni lui ni Etchegoyen n'ont réellement besoin...

C'est vrai que la plupart des idées qu'ils exposent sur l'éducation peuvent paraître banales... à des fans de Goldman. Je m'explique : Je suppose que la plupart des gens qui écoutent JJG sont dans l'ensemble d'accord avec les idées ou du moins la sensibilité qui affleure dans ses chansons (à moins qu'il n'y ait des masochistes dans l'assistance), i.e : la générosité, le don de soi, une certaine idée de la vie et une idée certaine de la liberté où "A coups de livres je franchirai tous ces murs..." Personne dès lors n'est choqué d'entendre parler de discipline, de respect, de dépassement nécessaire et de sanction...

Et pourtant, je connais des cellules d'associations de parents d'élèves pour qui ce livre mériterait d'être brûlé en place publique.

Et pourtant, je suis étudiante et lorsque j'expose certaines théories proches de ce que j'ai pu lire (et approuver !), dans "Les pères ont des enfants", je me fais traiter de "sale réactionnaire" (authentique !!!).

Et pourtant, lorsque j'explique aux gamins que j'ai en cours de soutien que les punir, c'est une marque de respect... Il y en a qui compennent... mieux que pas mal d'adultes.

Alors au moins pour cs raions, je ne suis pas sûre que ce bouquin soit un amas de banalités.

Quant à la mise en scène, le jeu des questions réponses est un peu artificiel et Etchegoyen trop souvent prêt à se raccrocher à des théorisations vasouillardes et politiquement correctes (alors qu'il sait faire tellement mieux que ça !). Mais je trouve que JJ s'en tire pas mal à jouer les faux Candides avec un sens de l'humour froid mais dévastateur. Il n'a jamais été un révolutionnaire ("qui voudrait remplacer / les méfaits de ses pères par ses propres excès" ???) et c'est tant mieux... Une révolution, c'est un tour complet, on fout le bord.. Et puis tout revient plus ou moins à son point de départ (les historiens vont me tomber sur le poil je le sens...). Je préfère les décanilleurs de petites lâchetés et de toutes les idées trop faciles derrière lesquelles on se cache.

Julie Hernandez
En passant, 12 septembre 2001


J'ai lu le livre comme beaucoup d'entres vous (et jusqu'au bout) et je pense que ce ne sont pas des banalités. Je suis d'accord avec Nadine C. : le rôle du père dans notre société est plutôt absent aujourd'hui. Et pourtant si important, comme il le dit. Je suis maman d'un petit garçon de seize mois et pour moi, le père joue un rôle d'autorité mais aussi (comme JJ le dit) un rôle de sevrage pour la relation mère-enfant.

Enfin, on pourrait débattre longtemps chacun ses opinions mais je voudrais terminer sur un point qui me parait important : JJ dit dans son livre, en parlant de son public, qu'il avait conscience que ce n'était pas n'importe qui qui écoutait sa musique, mais des gens plutôt cultivés et éduqués en général. Alors, quel compliment pour nous !

Voilà. Moi, le livre, je l'ai trouvé très intéressant.

Nadège
En passant, 23 septembre 2001


Je ne comprends pas bien la raison d'exister de ce livre.

En effet, je suis papa d'un petit garçon et durant la grossesse de ma femme, j'ai lu une série de bouquins abordant différents points de vues sur l'éducation des enfants. "Les pères ont des enfants" en faisait partie. Je dois dire que je n'y ai rien trouvé d'exceptionnel, rien de neuf par rapport aux autres livres traitants de ce sujet.

Il me semble que ce livre s'adresse par définition à des parents et a priori à des pères, auxquels je dis que ce livre n'est pas un bon investissement s'ils s'attendent à trouver une réponse à toutes leurs questions de (futur) père.

Non, ce livre ne contient pas que des banalités. Simplement, il ne fait que survoler le sujet sans jamais le traiter à fond. Peut être essaient-ils de dire aux parents (heuu... aux pères pardon...) qu'il faut assimiler une certaine théorie pour éduquer un enfant, mais qu'au final, le feeling doit l'emporter.

Si vraiment vous cherchez de bonnes références en matière d'éducation, préférez des livres comme "Père manquant, fils manqué", ou "Tout se joue avant 6 ans", ou même encore les bouquins de Francoise Dolto (désolé, je n'ai pas les références sous la main). Si, par contre, vous êtes fans ou simplement curieux... Achetez-le, ce bouquin. Il dévoile un peu plus ce bonhomme qu'est JJG.

Voilà ce que j'en dis. :-)

J'imagine que ce bouquin s'est fait sans trop réfléchir, sur une sorte d'envie passagère. Je pense que l'idée de ce livre a dû émaner de l'esprit d'Alain Etchegoyen et non de JJG. Mais qui sait ? Qui peut se venter de "connaître" ce JJG ?

Balty
En passant, 24 septembre 2001


Un petit mot concernant "Les pères ont des enfants". J'ai lu le bouquin mais ne l'ai plus. C'est donc de mémoire que j'en parle.

Certains s'étonnent de l'utilité du livre. Je pense que JJG n'aurait pas eu la prétention de vouloir faire un "guide" pour être un bon père. C'est plutôt une réflexion (du type essai). Il ne faut donc pas y chercher des "conseils pratiques" ou des réponses précises. La réflexion paraît banale à d'autres. Je ne suis pas d'accord. Hélas, sans doute, JJG et Alain Etchegoyen ont un avis peu partagé par l'air du temps. Déjà, ils réfléchissent à ces questions, ce qui est beaucoup.

Sur le fait que JJG connaît son public, c'est tout à fait vrai. Là aussi, il est lucide. Il me semble que dans le livre, il dit que son public est engagé dans la société (je crois qu'il cite les mouvements scouts...).

En revanche, je suis d'accord avec le fait que c'est Alain Etchegoyen qui a eu cette idée, et qui en tire le plus profit.

Fabien Tessier
En passant, 25 septembre 2001



Je viens de finir "Les pères ont des enfants", co-signé par Jean Jacques Goldman et Alain Etchegoyen. J'avais déjà lu ce livre il y a bien longtemps... Et voilà que les naissances se multipliant autour de moi, les questions trottant dans ma tête, j'ai décidé de le relire.

J'ai été plus qu'enchantée !!! Ce livre a été la base d'une bonne dizaine de discussions avec mes amis et mon compagnon. C'est terriblement intéressant. Ça ne parle pas que de la paternité mais de bien d'autres sujets actuels. J'aimerais le conseiller à tous ceux qui ne l'ont pas encore lu. Le re-conseiller à ceux qui l'ont lu et l'ont oublié.

Et puis j'aimerais savoir s'il est possible sur la liste, ou d'une autre façon, de lancer des thèmes de discussions sur les sujets qu'ils relèvent dans le livre. C'est vraiment passionnant.

Laure V.R.
En passant, 12 février 2003


J'ai lu récemment ce magnifique ouvrage. Papa depuis 16 mois, il m'a été super sympa de découvrir de nombreuses idées et de nombreuses pensées. Bien que fan de JJG, je ne conçois pas l'éducation aujourd'hui comme lui peut la concevoir, mais son opinion est comme toujours très intéressante. Ils donnent tous deux envie de discuter avec eux ! Terrible, j'aimerais bien ! Ce livre permet d'avoir du recul face aux enfants et, si on se projette dans l'avenir, ça peut nous aider. Dans tous les cas, OK pour un petit salon de discussion à ce sujet qui reste super super important.

Christophe Thuot
En passant, 13 février 2003


"Les pères ont des enfants" est un livre que je conseille à tout le monde, je l'ai lu il n'y a pas très longtemps et il m'a beaucoup intéressé. Certaines réflexions sont très pertinentes et, en fait, ils parlent de leur rôle de père très sincèrement et je pense que c'est ce qui rend le livre si passionnant.

Martine V.
En passant, 6 avril 2003


Je reviens sur un thème qui a déjà été abordé plusieurs fois mais qui me tient à coeur. J'ai été surpris par certaines réactions. J'ai lu ce livre dans le cadre d'un travail scolaire. Et je pense que beaucoup trop d'entre vous s'attachent à une soi-disant valeur injonctive de ce livre. Jean-Jacques et Alain mettent les choses au point dès l'incipit : ce n'est pas un ensemble de conseils ou d'ordres. C'est une réflexion sous forme de dialogue sur le rapport existant aujourd'hui entre la mutation globale de la société et de la famille, ses dérapages et ses nouvelles valeurs, et le père, qui prend, par conséquent, un nouveau rôle dans la famille. Vous n'y trouverez pas de "mode d'emploi, notice technique" pour être père. Simplement des remarques, des idées. Je pense aussi que le manque de clarté dans les propos est dû au fait que ni l'un ni l'autre n'avaient envie d'exposer une thèse sur ce qu'il ne connaissaient pas suffisamment. En effet, je suis certain que JJG et Etchegoyen ont voulu se glisser dans la peau d'un père banal, qu'ils sont en fait, leur vie d'artiste et de philosophe étant bien à part. Le sentiment de confusion des propos et de désorganisation des idées est une conséquence du dialogue, je crois. Car, quand nous parlons, il nous arrive souvent de revenir à des choses abordées précédemment (et ce pour confirmer, avorter des hypothèses exposées avant, ou bien pour expliquer ceci par cela, au risque de répétitions parfois énervantes). Et lorsqu'un tel dialogue est transposé à l'écrit, il se doit de s'approcher au mieux de ce que n'importe quel père aurait dit. Peut-être est-ce effet de réel, peut-être pour ne pas oublier que deux personnes parlent à égalité, et que ces deux personnes ont des opinions personnelles perfectibles et ouvertes (on en revient à la confusion des idées et à leur rôle de père, qui est plus un rôle pratique et affectif qu'un impératif moral, d'où une impression de lieu commun).

D'ailleurs, en parlant de lieu commun, je voudrais dire une chose qui me semble très importante: oui, nous devons lutter contre eux. Mais il arrive parfois que tout le monde tombe d'accord sur un point et que le lieu commun se vérifie, occasionnellement. On n'en devient pas pour autant un amateur de topos.

Pour ma part, j'ai trouvé ce livre très intéressant. Cela m'a permis de voir un JJG autre que celui que l'ont peut deviner à travers ses chansons (et qui pourtant n'est pas si différent). Sa vie ne nous regarde pas. C'est ce que j'ai pu lire sur sa façon de voir les choses qui a été utile pour comprendre ses textes et les idées cachées derrière. Et puis, sommes-nous fans de mélodies et de textes ou bien fans d'une vie parmi tant d'autres ?

Geoffrey Marsan
En passant, 1er juin 2003


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