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Jean-Jacques Goldman, toutes guitares complices
(Midi Libre - Lundi 27 avril 1998)

Jean-Jacques Goldman, toutes guitares complices
Midi Libre - Lundi 27 avril 1998
Olivier PERNOT

VARIETES : Hier soir devant près de 5000 personnes au Zénith "Jean-Jacques Goldman, toutes guitares complices"

Reprenant la sobriété de son dernier album, le chanteur impressionne.

Hier soir, devant un Zénith complet depuis des mois, Jean-Jacques Goldman a séduit, une fois encore, son public en proposant un concert audacieux. Pendant une heure et demie, l'acoustique est de mise, en parfait accord avec un dernier album intimiste, qu'il décline au devant de la scène, seul ou judicieusement accompagné d'une équipe de musiciens complices. Parmi eux, l'ami fidèle de toujours Michaël Jones.

Cette sobriété d'instrumentation -mais pas de sensations- permet à Goldman un contact direct avec l'audience. Calme et posé dans ses propos, un sourire malicieux et l'oeil qui pétille, il sait que la salle est derrière lui. L'impressionnante machinerie (scènes amovibles, piano roulant, jeu d'écrans éblouissant) ne gâche en rien l'émotion que l'on ressent à l'écoute des titres bluesy de "En Passant".

De "On ira" en ouverture jusqu'à "Quand tu danses" en axe central, le chanteur impose sur scène la griffe légère mais puissante de ses nouvelles compositions. Entre, il glisse des anciens morceaux (notamment le sublime "Là-bas") pour mettre en haleine et amener à un final toutes guitares électriques en avant.

Bluesman acoustique ou rocker électrique, Jean-Jacques Goldman impressionne. Naturellement "Gentil" et soucieux de préserver un contact presque palpable, il rayonne dans une mise en scène travaillée ; à la hauteur de son talent.

Olivier PERNOT

Certains journalistes ne restant pas jusqu'à la fin du concert, voici un rectificatif de Rémi Derasse : le final "toutes guitares électriques dehors", c'était "Pour que tu m'aimes encore" chanté seul sur une scène vide avec une simple guitare sèche. Tellement sèche, d'ailleurs, qu'elle s'est arrêté de jouer au beau milieu de la chanson : simple péripétie d'ordre technique, qui a valu à "JR" (le monsieur incriminé) un terrible "Il est vraiment phenoménal" par un Zénith plein à craquer. Chanson que Goldman reprendra dès que sa guitare sera rebranchée, peut-être une ou deux minutes plus tard, avant de finir "Juste lui et nous pour finir comme nous étions pour commencer, par une petite chanson pour nous dire que le spectacle est terminé" (ça, c'était du Sardou, mais ça décrit quand même assez bien la scène).


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