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      Palais des Sports de Beaulieu, Nantes 
        22 octobre 1998
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Récit par Jérôme Julien :
Ah là là ! Ça passe trop vite ! J'ai assisté le 
  22 octobre dernier à mon deuxième concert de la tournée 
  "En passant" de JJG (après Paris le 13 
  juin dernier). Et je dois dire que je ne me lasse pas du tout du spectacle. 
  Je ne vais pas vous énumérer les chansons puisque tout le monde 
  connaît le spectacle mais voici trois ou quatres choses d'avant, de pendant 
  ou d'après le concert :
  - Nous sommes arrivés (mon oncle, ma tante, ma cousine et moi, tous 
    fans de Jean-Jacques) devant le Palais des Sports vers 17 h 30. Pas énormément 
    de monde attendait. Tant mieux ! On pourra se trouver une bonne place debout, 
    dans la fosse. Mais quelle surprise lorsque arrivés dans la salle, 
    on s'aperçoit que la fosse était remplie de chaises... Problème 
    de sécurité me dira un vendeur de programmes... Au Zénith, 
    on était pourtant debout... Toujours est-il qu'on se pose au 7ème 
    rang et on voit très bien.
 
  - La salle s'enflamme petit à petit et des olas commencent à 
    arriver un peu de partout. Les Nantais étaient vraiment en pleine forme 
    ce soir là...
 
  - Richard est arrivé à 20 h 15 pile-poil et nous fait chanter 
    sur "Alexandrie, Alexandra" ou "Joyeux anniversaire".
 
  - Et là, à 20 h 40, les lumières s'éteignent, 
    une ombre apparait et l'intro de On ira 
    se fait entendre. Le public crie, hurle de joie...
 
  - J'ai trouvé que Jean-Jacques assurait bien vocalement. Sa voix était 
    claire.
 
  - Dans Bonne idée, "et des matches 
    de rugby" devient "et des matches de football".
 
  - Là-bas, Quand 
    tu danses et Pour que tu m'aimes encore 
    étaient sans aucun doute les moments les plus émouvants du concert.
 
  - Claude Le Péron, le bassiste jouait chez lui et lorsqu'il est parti, 
    il a tendu les bras vers le ciel comme signe de victoire.
 
  - Enfin, avant de chanter Pour que tu m'aimes encore, 
    Jean-Jacques nous a dit : "On savait qu'en venant à Nantes on allait 
    être bien acceuilli, mais on ne s'y fait pas..." Après ça, 
    il nous a fallu quelques jours avant de vraiment redescendre sur terre. Vivement 
    la sortie du live... Et juste un dernier truc : le Zénith de Paris 
    est quand même mieux au niveau accoustique que le Palais des sports 
    de Nantes...
 
Jérôme Julien
9 novembre 1998
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