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Ne lui dis pas

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Auteur : Jean-Jacques Goldman
Compositeur : Jean-Jacques Goldman
Editée par : Editions J.R.G.

Version originale
Année : 1993
Interprétée par : Fredericks - Goldman - Jones
Distribuée par : Columbia / Sony Music

 

Reprises Où trouver ce titre Retour au menu

Année Interprète Support Référence Pochette
1993 Fredericks - Goldman - Jones K7 Rouge COL 474 955-4
1993 Fredericks - Goldman - Jones CD Rouge COL 474 955-2
1995 Fredericks - Goldman - Jones 2 K7 Du New Morning au Zénith COL 480 308-4
1995 Fredericks - Goldman - Jones 2 CD Du New Morning au Zénith COL 480 308-2
1999 Jean-Jacques Goldman K7 En passant Tournée 1998 COL 494 829-4
1999 Jean-Jacques Goldman CD En passant Tournée 1998 COL 494 829-2
2000 Fredericks - Goldman - Jones 8 CD Intégrale 1990-2000 CD3 COL 498 836-2
2000 Fredericks - Goldman - Jones 8 CD Intégrale 1990-2000 CD4 COL 498 836-2
2000 Jean-Jacques Goldman 8 CD Intégrale 1990-2000 CD6 COL 498 836-2

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Les chansons sont souvent plus belles... Paroles Retour au menu

Troubles images issues du temps
Messages d'enfant
Vagues voyages au gré d'avant

Ne lui dis pas
Ce n'est qu'à toi
Rêve tout bas
Ne lui dis pas

Tendres caresses, fièvres et sang
Les peaux s'entendent et se tendent
Paupières closes, qui te prend ?

Ne lui dis pas
Ça sert à quoi
Ce n'est qu'à toi
Ne lui dis pas

On n'avoue rien si l'on est innocent
Les mots sont vains, les mystères indulgents
La pénombre éclaire
Du silence au mensonge
C'est l'espace des songes

Page après page, vie sur vie
Quand les questions dansent
N'est-ce que ça ? Etait-ce lui ?

Ne lui dis pas
Ce n'est qu'à toi
Rêve plus bas
Ne lui dis pas

Qu'il est si tard, qu'il ne t'étonne plus
Qu'il ne sait pas et qu'il n'a jamais su
Que bientôt l'hiver
Si c'était à refaire
Mais "chut" mieux vaut se taire
Ne lui dis pas

Les chansons sont souvent plus belles que ceux qui les chantent Les chansons sont souvent plus belles... Retour au menu

"J'ai trois dictaphones. Un ici, sur mon piano, un sur mon piano de studio et un avec moi en vacances. J'ai aussi ce petit carnet. Toujours et partout. D'un côté, c'est un agenda. J'y note ce que j'ai à faire. De l'autre, toutes les idées qui me viennent. Dès que le carnet est terminé, je déchire les pages-idées et les glisse dans une boîte où il y a marqué... "idées". Simple. Exemple ? Peut-on "tout" dire, et faut-il "tout" dire avec celle ou celui avec qui l'on vit ? Ne faut-il pas des espaces, du mystère, des silences pour préserver ou simplement rendre possible une relation "physiquement" si proche de nous. A l'inverse d'un ami à qui l'on peut tout déballer si on en ressent le besoin, l'intimité de vie n'implique-t-elle pas, justement, une distance ? Voilà. Une idée sur un coin de papier. Je me dis on verra. Ça peut faire une chanson, c'est le cas, ou une idée de scène. Ou rien. En fait, c'est plutôt un prétexte. Un prétexte à penser."

[Quand on lui demande quelle est la dernière idée inscrite sur son carnet, il sourit]

"Une idée sur les filles qui sont loin. Qu'on voit de loin. A une fenêtre, par exemple, qui sont évidemment belles. Non pas parce qu'elles le sont, mais parce que nous décidons qu'elles le soient. J'ai pensé ça à cause d'une fille que j'ai vue, à son balcon, très loin dans une autre rue. Je la regardais et la trouvais évidemment merveilleuse alors que je ne voyais rien. Des cheveux noirs, l'air vaguement alanguie. Elle était exactement comme je pouvais supposer qu'elle soit. Un peu ironique, parfaite, même si elle ne l'était forcément pas. Une ombre, que tu colories toi-même, comme le contour des dessins d'enfants".

Jean-Jacques Goldman
Commentaire du livre "Rouge"


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bientôt...

 

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